18 février 2009
Bonjour,
La projection s'est déroulée samedi comme prévu, comme sur des roulettes, avec le directeur, le chef, pleins de"enfants et d'adultes venus par curiosité: grand écran, le film de Graulhet et un film d'ici; très poetique. On a vu Bebert dans son élément, c'était sympa.
Il a plu qq gouttes hier à Ouaga; on retourne au village pour le stage, en groupe; des jeunes nantais rencontrés sur la route vont nous aider; ainsi que Issa qui va filmer/// Bisous, des images de tout ça quand c'est possible.
La projection s'est déroulée samedi comme prévu, comme sur des roulettes, avec le directeur, le chef, pleins de"enfants et d'adultes venus par curiosité: grand écran, le film de Graulhet et un film d'ici; très poetique. On a vu Bebert dans son élément, c'était sympa.
Il a plu qq gouttes hier à Ouaga; on retourne au village pour le stage, en groupe; des jeunes nantais rencontrés sur la route vont nous aider; ainsi que Issa qui va filmer/// Bisous, des images de tout ça quand c'est possible.
13 février 2009
Nezabré( eh oui, on est le soir)
Enfin arrivés à Ouagadougou (c'est où? ah ah ah) , on s'est posés à l'espace culturel Napam Beogo, dans un quartier sympa, auberge + promotion de l'artisanat et ateliers artistiques; en ce moment répétition animée d'une pièce de théâtre sur Che Guevara qui vient exporter la révolution en Afrique, ça donne!
De notre côté, nous préparons la projection du petit doc qu'on a fait avant de partir avec l'aide de Didier et Fréda sur la classe de Basile au cirque et la ville de Graulhet: donc demain, grand écran au village de Barma ; on passera aussi un film de Gaston Kaboré (le boss du centre de formation où travaille Bébert) Je cite les noms pour l'intelligentsia graulhétoise bien sûr.
Nous nous fondons dans le flot des cyclistes ouagalais mais on n'est pas complètement adaptés à la circulation motorisée: un art risqué que nous ne maîtrisons pas encore, sinon on provoque bien sûr des rires sur notre passage (surtout moi avec Rosalie dans le siège bb, c'est inédit ici; si j'ai pas entendu 150 fois "eh là l'enfant dort!" "Oui merci je sais elle est attachée") Après le Toubabou archiconnu du Mali, c'est Nassara, Nassara! voire des fois eh le Blanc!
Au pays Dogon
Après pas mal de poussière rouge dans la camionnette et les narines, nous avons excursionné au pied et sur la falaise magnifique de Biandagiara, à pied et en charette à boeuf. Nous avons découvert ces bizarres petites maisons en banco accrochées très haut sur la roche, les restes des habitations des tellems, appelés par les dogons les" pygmées "(si on en croit les guides, pas plus haut que Rosalie?...) Nous avions avec nous un guide taciturne (ce n'est pas courant), ce qui convenait parfaitement à la spiritualité et à la beauté des lieux. La sélection des photos fut dure, qqunes ci-dessus.
Bises à tous
Enfin arrivés à Ouagadougou (c'est où? ah ah ah) , on s'est posés à l'espace culturel Napam Beogo, dans un quartier sympa, auberge + promotion de l'artisanat et ateliers artistiques; en ce moment répétition animée d'une pièce de théâtre sur Che Guevara qui vient exporter la révolution en Afrique, ça donne!
De notre côté, nous préparons la projection du petit doc qu'on a fait avant de partir avec l'aide de Didier et Fréda sur la classe de Basile au cirque et la ville de Graulhet: donc demain, grand écran au village de Barma ; on passera aussi un film de Gaston Kaboré (le boss du centre de formation où travaille Bébert) Je cite les noms pour l'intelligentsia graulhétoise bien sûr.
Nous nous fondons dans le flot des cyclistes ouagalais mais on n'est pas complètement adaptés à la circulation motorisée: un art risqué que nous ne maîtrisons pas encore, sinon on provoque bien sûr des rires sur notre passage (surtout moi avec Rosalie dans le siège bb, c'est inédit ici; si j'ai pas entendu 150 fois "eh là l'enfant dort!" "Oui merci je sais elle est attachée") Après le Toubabou archiconnu du Mali, c'est Nassara, Nassara! voire des fois eh le Blanc!
Au pays Dogon
Après pas mal de poussière rouge dans la camionnette et les narines, nous avons excursionné au pied et sur la falaise magnifique de Biandagiara, à pied et en charette à boeuf. Nous avons découvert ces bizarres petites maisons en banco accrochées très haut sur la roche, les restes des habitations des tellems, appelés par les dogons les" pygmées "(si on en croit les guides, pas plus haut que Rosalie?...) Nous avions avec nous un guide taciturne (ce n'est pas courant), ce qui convenait parfaitement à la spiritualité et à la beauté des lieux. La sélection des photos fut dure, qqunes ci-dessus.
Bises à tous
02 février 2009
Ani Sorama,
Nous quittons maintenant Ségou pour la route de Mopti, et randonnée au "Pays Dogon", arrivée prévu au Burkina dans une semaine. Ici, baignades quotidiennes dans le Niger, émerveillement devant les potagers et les pépinières, rudes marchandages au marché, le camion est resté une semaine au repos et nous en vélos, le pied!!Il fait maintenant très chaud mais nous sommes acclimatés, Rosalie ouvre son oeil presque normalement, Basile fait ses devoirs presque vaillament.
Au marché de Ségou, salades pour Olivier, Bissaps et poissons frits pour les enfants (qui ont un estomac d'acier), calebasses et poteries pour Muriel, et nouilles de mil pour tout le monde.
Les nuits commencent très tôt à cause des moustiques et de l'obscurité et finissent très tôt à cause des muezzins, ânes, oiseaux...
Nous avons également profité" du Festival sur le Niger: Masques, Marionnettes, percus et danses de toutes les régions du Mali à gogo.
Nous avons traversé le fleuve en pirogue et pataugé dans les marigots (voir la photo que le guide narquois a prise) pour aller au village des potiers de Kalabougou, visiter les "ateliers " des artisanes (c'est à dire directement dans les concessions).
Yoll prend la même route, mais séparément, on se retrouve au gré des haltes, et on se raconte chacun nos aventures.
Bisous, à + Muriel et cie
Nous quittons maintenant Ségou pour la route de Mopti, et randonnée au "Pays Dogon", arrivée prévu au Burkina dans une semaine. Ici, baignades quotidiennes dans le Niger, émerveillement devant les potagers et les pépinières, rudes marchandages au marché, le camion est resté une semaine au repos et nous en vélos, le pied!!Il fait maintenant très chaud mais nous sommes acclimatés, Rosalie ouvre son oeil presque normalement, Basile fait ses devoirs presque vaillament.
Au marché de Ségou, salades pour Olivier, Bissaps et poissons frits pour les enfants (qui ont un estomac d'acier), calebasses et poteries pour Muriel, et nouilles de mil pour tout le monde.
Les nuits commencent très tôt à cause des moustiques et de l'obscurité et finissent très tôt à cause des muezzins, ânes, oiseaux...
Nous avons également profité" du Festival sur le Niger: Masques, Marionnettes, percus et danses de toutes les régions du Mali à gogo.
Nous avons traversé le fleuve en pirogue et pataugé dans les marigots (voir la photo que le guide narquois a prise) pour aller au village des potiers de Kalabougou, visiter les "ateliers " des artisanes (c'est à dire directement dans les concessions).
Yoll prend la même route, mais séparément, on se retrouve au gré des haltes, et on se raconte chacun nos aventures.
Bisous, à + Muriel et cie
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